Berliner Eisbein mit Spitzkraut von Silvio Pfeufer
Rezepte für die Berliner Morgenpost: Berliner Eisbein, Spitzkraut, Zwiebel und Schwarzbier von Silvio Pfeufer aus dem „einsunternull“.
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Rezepte für die Berliner Morgenpost. Jeden Sonntag bereitet ein Spitzenkoch der Stadt ein Gericht zum Nachkochen zu. Heute: die Hauptspeise von Silvio Pfeufers Hauptstadt-Menü aus dem Restaurant „einsunternull“ Berliner Eisbein. Spitzkraut, Zwiebel und Schwarzbier.
Die Haxen in einem Sud aus dem Gemüse und Gewürzen zirka drei Stunden lang sieden bis sie weich sind. Anschließend den Knochen herausdrehen und die Haxe beiseite stellen. Die Knochen leicht rösten und mit einem Drittel des Kochfonds eine Soße ansetzen. Die Soße kochen und reduzieren. Nebenbei das Bier auf ein Drittel eindampfen und die Soße damit abschmecken.
Die Perlzwiebeln in einem Sud aus Essig und Zucker einlegen. Einkochen und ziehen lassen. Die Graupen in Öl anziehen und mit etwas Weißwein ablöschen. Den Weißwein einkochen und danach mit etwas Wasser oder, falls vorhanden Gemüsefond, einkochen. Den Vorgang wie bei einem Risotto wiederholen bis sie gar sind, aber noch etwas Biss haben.
In der Zwischenzeit das Spitzkraut vom Strunk befreien und in feine Streifen schneiden. Diese ebenfalls in etwas Öl anbraten und dann unter die fertigen Graupen mischen. Abschmecken und zum Anrichten bereit stellen.
Das gekochte Eisbein in einem Topf mit Öl bei 160 Grad circa sechs Minuten ausbacken, so dass die Schwarte schön knusprig wird. Halbiert servieren.
August 01, 2020 at 01:00PM
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Berliner Eisbein mit Spitzkraut von Silvio Pfeufer - Berliner Morgenpost
양파와 마늘 의무자조금이 탄생했다. 노지채소 품목에서 의무자조금이 설립된 것은 이번이 처음이다.
한국양파산업연합회와 한국마늘산업연합회는 지난달 23~24일 양일간 전자적 투표 방식(문자, 스마트폰, PC 등)으로 의무자조금 설치를 위한 대의원 찬반투표를 실시, 두 연합회 모두 대의원 동의(투표자 중 2/3 이상)를 얻었다.
양파산업연합회는 대의원수 118명 중 117명이 찬성, 마늘산업연합회는 대의원 119명 중 118명이 찬성했다. 이에 두 단체는 이달 중 창립 대의원회를 열고 의장 등 임원과 의무자조금 관리위원을 선출할 예정이다.
양파·마늘 의무자조금 설립은 2019년 양파·마늘 가격 폭락을 계기로 매년 반복되는 농산물 수급 불안을 근본적으로 해결해 나가자는 차원에서 추진됐다. 농림축산식품부는 지난해 9월 양파·마늘 주산지 농협, 생산자단체 대표 등과 의무자조금 설치를 합의한 후, 올해 초까지 지자체·농협·농업인 설명회 등을 거치는 등 의무자조금 설립 절차를 이어왔다.
이정삼 농식품부 유통정책과장은 “짧은 기간에 많은 농업인의 동의를 얻을 수 있었던 데는 매년 반복되던 가격 급등락 등 수급 불안이 더 이상 되풀이돼서는 안 된다는 농업인의 의지와 열망의 결실”이라고 의미를 부여했다.
의무자조금 단체는 시장출하 규격 설정 등 생산·유통에 대해 자율조절 조치를 취할 수 있고, 해당 품목을 재배하는 농업인은 이 조치를 따라야할 의무가 있다. 또 무임승차 방지를 위해 의무거출금 미납자에 대해서는 정부의 각종 지원 대상에서 배제된다.
이와 함께 농식품부는 9월 중 ‘농수산자조금법’에 따른 생산·유통 자율조절 시행을 위해 경작 신고 등 자율 수급조절 계획을 만들어 시행한다는 계획이다.
이정삼 과장은 “그간 정부의 수급정책만으로는 한계가 있을 수밖에 없었는데, 앞으로 의무자조금단체를 중심으로 지자체·정부가 힘을 합쳐 수급안정을 위해 노력한다면 우리 양파·마늘 산업 발전 및 농업인 소득안정에도 기여하게 될 것”이라며 “정부는 정확한 관측정보 제공과 자조금 매칭 등을 통해 의무자조금 단체의 수급조절 기능을 적극 지원하겠다”고 말했다.
한편 농수산자조금법에 따른 의무자조금 단체는 의무자조금을 조성해 자율적 수급안정, 연구개발, 수출 활성화 등 자조금 용도에 맞는 각종 사업을 추진할 수 있다. 또 의무자조금은 해당 품목을 재배하는 농업인과 해당 품목을 취급하는 농협 등 농산업자가 의무적으로 납부해야 하는 의무거출금과 정부 지원금, 농산물 유통·가공·수출업자 등의 지원금으로 조성된다.
Halte aux fous ! Par clémence et bonté d’âme, il faut supposer que les deux ministres qui ont signé le Rapport sur la fiscalité des Français de l’étranger ne l’ont pas lu (pour le lire cliquez ICI). C’est un tel salmigondis bureaucratique qu’on a pitié de ceux qui ont souffert pour le rédiger. Exemplaire de ce que ne doit pas être l’administration, la fiscalité, les relations entre l’Etat et les citoyens, c’est le contre modèle absolu qui devrait être enseigné dans les écoles, y compris à l’ENA.
Le modèle de la bureaucratie
Qui a rédigé ce Rapport? Pourquoi ? Le changement de fiscalité avait conduit à une telle hausse d’impôts pour les Français de l’étranger que Gérald Darmanin avait accepté un moratoire et commandé un Rapport. Le voilà. Il est signé Olivier Dussopt et Jean-Baptiste Lemoyne, transmis au Parlement. Il préfigure l’avis que donneront les ministres lors de la discussion budgétaire. En réalité, il est réalisé par la DNIR, la Direction Nationale des Impôts des non Résidents qui n’oublie pas, au passage, de se plaindre de sa triste condition.
Que contient le Rapport ? Tout d’abord, quelques chiffres, trop rares d’ailleurs, sur les Résidents à l’étranger. Sur les 1.775.875 Français inscrits au 1er janvier sur les registres consulaires, 470.801 sont Résidents à l’étranger non contribuables. Une augmentation régulière de 6% par an. Les autres n’ont pas de revenus en France, ou trop peu, ou bien sont agents de l’Etat ou autres et paient leurs impôts en France. Plus 6 % par an, de quoi s’interroger. Surtout quand le Rapport répète, sans rire, qu’il s’agit de conserver « l’attractivité fiscale de la France ». Quand on sait que la France est le pays recordman des taxes et prélèvements, on mesure l’ironie du Fisc.
Les impôts n’augmenteront pas, sauf pour les expats
Les non résidents non contribuables paient 1.5 milliards d’impôts. Pas si mal pour des non-contribuables, qui paient sur les revenus de France. Et paient des impôts dans leur pays de résidence. Leurs revenus sont de 3,980 milliards. Si l’on veut calculer leur taux d’imposition moyen, ce que ne fait pas la DNIR, on arrive à 38%. (1.5/3.9) La DNIR ne le fait pas parce qu’elle explique sans cesse que les Français de l’étranger sont favorisés. Elle utilise la vieille astuce des études de cas, « cas » choisis pour étayer ses thèses, manipulation à destination des parlementaires et des non spécialistes. Parfois, d’ailleurs, elle se trompe. Mais qu’importe, ces cas n’ont qu’un objet rhétorique, faussement objectif. Elle le reconnait elle-même en expliquant que toute modélisation ou simulation est impossible car trop complexe, compte tenu de la diversité des situations. Non: compte tenu de la complexité de la fiscalité, devenue la plus injuste et la plus aberrante du monde, puisqu’elle favorise les malins et pénalise les naïfs.
L’administration fiscale, dans ce rapport défend deux « acquis fiscaux », pour l’Etat. Le premier, c’est la réforme qui a porté le taux d’imposition minimum à 30% à partir de 25659€ de revenus : « Revenir sur l’augmentation du taux minimum et sur les différentes mesures favorables l’ayant accompagnée est à exclure ». Mesures favorables, c’est une façon de parler. L’essentiel des exonérations de charges dont bénéficient les autres contribuables est interdit aux Français de l’étranger. Question de principe pour la DNIR ! Qui se déchaine, invoque la Constitution, la natalité à l’étranger, la proportionnalité de l’impôt, mille arguments d’autant plus tendancieux qu’elle reconnait que le bon système – qu’elle promet d’améliorer – est celui dit du régime « Schumacker ». Ce régime, imposé par la Cour de justice de l’UE, est réclamé par les associations de contribuables. Il consiste, en simplifiant, à aligner la taxation de Français de l’étranger pour leurs revenus en France sur celles des résidents en France. L’administration a été obligée d’accepter l’arrêt Schumacker[1], comme pour la CSG, mais freine tant qu’elle peut. Il faut faire la demande chaque année, et par voie contentieuse.
56 millions d’impôts supplémentaires pour les Français de l’étranger
Faire appliquer le droit par l’administration par recours contentieux, alors que l’Etat est là pour appliquer la loi est une honte. Consciente de cet abus, le recours au régime «Schumacker » pourrait être facilité, accorde le Fisc dans sa bienveillance. On pourrait, suggère-telle, « passer d’une procédure contentieuse à une procédure déclarative ». Ce serait la moindre des choses.
Pourquoi l’administration ne veut pas revenir sur la malheureuse réforme ? Parce qu’elle doit rapporter…56 millions d’euros supplémentaires[2]. Ainsi, l’impôt n’augmentera pas, ont affirmé Président et gouvernement, sauf pour les Français de l’étranger. Soit, en moyenne, 119 euros par non-contribuable. Avec des hausses, selon le Rapport, de parfois +89% ! Et l’augmentation touche principalement ceux qui touchent moins de 43. 047 €. Tous des privilégiés.
Ce que recommande le Rapport c’est d’ « apporter des aménagements limités afin de contenir, sans toutefois la combler, la hausse d’impôt qui en résulte ». Bel aveu : quoiqu’il arrive, les impôts augmenteront.
Pour faire plaisir aux parlementaires, le fisc étudie quelques pistes. Tel un barème spécifique pour les Français de l’étranger. Une drôle de construction intellectuelle : parce que ceux-ci ont d’autres revenus, ils seraient « favorisés » et devraient en conséquence avoir droit à un barème spécifique qui leur ferait payer plus ! Mais n’ont-ils pas d’autres conditions de vie, d’autres frais, et … d’autres impôts ? N’est ce pas en totale contradiction avec l’arrêt Schumacker ? Autre piste : appliquer le système de la « décote », une particularité fiscale française que le monde ne nous a jamais envié et que l’on parle de supprimer depuis des lustres. L’administration n’y est pas favorable, car cela reviendrait à un avantage fiscal. Or quoiqu’il en soit « accorder les réductions et crédits d’impôt devrait être exclu ».
Les effectifs du fisc pour les expats en augmentation
Mais qui sont ces génies qui commettent de tels aveux ? La DNIR se plaint d’être en sous-effectifs. Elle ose même affirmer que ses effectifs ont été réduits. Elle ne sait pas compter : dans son Rapport, de 347 agents en 2016, on passe à 435 en 2020. Normal d’augmenter les impôts pour payer les nouveaux emplois de la DNIR.
Ainsi, quand on diminue le nombre le nombre d’enseignants, d’agents dans les consulats et ambassades, on augmente le nombre de contrôleurs fiscaux ! Que disent Le Drian et Le Moyne, merci, bravo ? Normal, la DNIR se plaint du « goulot d’étranglement » dans lequel elle se trouve: « 350.000 appels téléphoniques par an, 150.000 contacts par e-mail ». Pourquoi tous ces Français de l’étranger appellent ? Parce que c’est incompréhensible, Kafkaïen, ubuesque, injuste !
10.483€ par mois pour les conseilleurs, la taxe pour les payeurs.
Exemple de littérature bureaucratique à faire étudier dans les Alliances françaises : « La mise en œuvre du PAS de droit commun à compter du 1er janvier 2023 a donc été retenue car elle permettra notamment aux collecteurs de mettre en œuvre le processus déclaratif propre au PAS, i.e. les déclarations DSN et PASRAU, et à l’administration de consolider la fiabilisation des processus de traitement de données, de calcul et d’interaction avec les collecteurs, sous forme de périodes de préfiguration ». Et ces superbes intelligences d’avouer que le travail, parce que c’est trop compliqué, doit être fait par le contribuable. Le reste est à l’avenant. L’injustice et l’abus de droit, fièrement arborés, en plus.
Pour information, l’Observatoire de l’Ethique Publique, fondé par René Dosière[3], indique que parmi les Conseillers ministériels les mieux payés, ceux d’Olivier Dussopt détiennent la palme : 10.482€ brut/mois, en moyenne.
Pourquoi, en plus d’un an, aucun de ces conseillers ministériels si bien payés, ne s’est demandé comment faisaient nos voisins ? Pas un mot sur ce qui se passe à l’étranger dans ce lamentable Rapport. Anglais, Italiens, Grecs, Indiens ont-ils tous leurs DNIR ? Beaucoup s’en passent. A se demander si la DNIR, création récente, juillet 2017, ne devrait pas être supprimée.
Suggestions aux ministres
Quant aux deux ministres qui ont commis l’erreur de signer un tel rapport, voici quelques suggestions :
Lire le rapport
L’oublier.
Etudier ce que font les autres.
Tenir l’engagement répété du Président auquel ils se réfèrent sans cesse: baisser les impôts et simplifier la bureaucratie. On attend.
S’ils n’y arrivent pas, il y a une cinquième voie : ne plus être ministre. Si c’est pour répéter ce que dit l’administration, personne n’en a besoin. Les administrateurs seront toujours plus compétents que les amateurs. Ce qu’on attend, c’est une politique.
Laurent Dominati
Fondateur de lesfrançais.press
Ancien Ambassadeur de France, ancien Député de Paris
[1] « Les contribuables non-résidents domiciliés dans un des Etats de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen qui tirent l’essentiel de leurs revenus de France et ne bénéficient d’aucun mécanisme de nature à minorer l'imposition de leurs revenus en fonction de leur situation personnelle et familiale dans leur État de résidence peuvent bénéficier du régime dit des « contribuables non-résidents Schumacker » Ils sont alors assimilés à des personnes fiscalement domiciliées en France tout en restant tenus à une obligation fiscale limitée à leurs seuls revenus de source française. Ils peuvent, de la même manière que les contribuables fiscalement domiciliés en France, faire état, pour la détermination de leur impôt sur le revenu, des charges admises en déduction du revenu global et bénéficier des réductions et crédits d'impôts. Ils sont ainsi imposés selon les règles de droit commun applicables aux contribuables domiciliés fiscalement en France, sans application des taux minimum et taux moyen d'imposition »
[2] « Pour l’imposition des revenus 2019 de source métropolitaine, le rendement de la mesure est estimé à environ 56 M€. ».
[3] Ancien Rapporteur spécial des services du Premier ministre de la Commission des Finances, comme je le fus. Ce qui permet de contrôler les comptes un peu particuliers, des services secrets par exemple , ou de l’Elysée.
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July 31, 2020 at 08:22PM
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A quelle sauce serez vous mangés par le Fisc ? - Lesfrancais.press
Yoshikawa Toki stellt seit über 100 Jahren in Choshi (Präfektur Chiba) Keramik her. Die neueste Soja-Schale auf dem alteingesessen Tradition-Unternehmen entführt den Kunden in eine magische Welt.
Die Porzellan-Schalen wurden mit einer speziellen 3D-Technologie bearbeitet, sodass ein Muster in die Oberfläche eingebrannt wurde, die der Silhouette des Inubosaki-Leuchtturms nachempfunden ist. Wenn man anschließend Soja-Soße in die Schale gießt, sieht es aus, als würde sich der Leuchtturm vor dem Licht der Morgensonne zeigen.
Leuchtturm aus Soja-Soße
Ein kurzes Video, das zeigt, wie sich der Leuchtturm wie von Zauberhand aus der Soße ergibt, erwies sich nicht nur in Japan als viraler Clip. Auch Menschen von Außerhalb wurden auf das Unternehmen aufmerksam.
Yoshikawa Toki entwickelte in seiner 100-jährigen Geschichte verschiedene Artikel, die sich explizit mit Choshi auseinandersetzen und für die bekannten Erzeugnisse der Region geeignet sind. Unter anderem sind kleine Teller mit Sardinen-Motiv oder Tassen mit einem Abbild der Byobugaura-Klippen an der Küste echte Verkaufsschlager.
Der aktuelle Inhaber leitet das Unternehmen in dritter Generation und ist immer wieder für neue, außergewöhnliche Ideen zu begeistern. Er erfuhr von Schalen, in denen Bilder von Katzen oder dem Berg Fuji erscheinen, wenn man eine farbige Flüssigkeit hineingibt. Der Chef setzte sich mit einem Unternehmen aus der Präfektur Hiroshima in Verbindung, um gemeinsam die Leuchtturm-Teller zu realisieren.
Das Design basiert auf einem Bild, das das Kap Inubosaki und den Leuchtturm als Silhouette zeigt, während im Hintergrund die Sonne über dem Meer aufgeht. Die Umsetzung erwies sich als ebenso einfach wie genial. Die Schale verfügt über unterschiedlich tief eingeschliffene Schichten. Je tiefer der Ausschnitt, desto dunkler wird sie Soja-Soße an dieser Stelle. Bei nur flachen Schichten entsteht nur eine sehr dünne Schicht Soße, die für eine schöne Färbung sorgt.
Erfolgreich weit über die Grenzen der Präfektur hinaus
Bis der erste Prototyp fertig war, dauerte es etwa einen Monat, da Yoshikawa auch wollte, das Details, wie das Glitzern des Sonnenlichts auf dem Wasser, in der Schale wiederzufinden sind. Außerdem sollte die Landschaft möglichst genau wiedergegeben werden, sodass immer wieder Änderung vorgenommen werden mussten.
Mit dem Laden des Videos akzeptieren Sie die Datenschutzerklärung von YouTube. Mehr erfahren
Die Schale wurde international ein Erfolg, nachdem die Stadtverwaltung von Choshi das Video auf seinem Instagram-Account hochgeladen hatte, von wo es sich in den sozialen Netzwerken verteilte. Mittlerweile kamen sogar schon Bestellungen aus Texas bei Yoshikawa Toki an.
Die Soja-Soße Schalen mit dem Leuchtturm-Motiv hat einen Durchmesser von 7,5 Zentimetern. Sie wird im Laden von Yoshikawa Toki in Choshi für 1.600 Yen (12,90 Euro) angeboten. Der Laden verfügt aber auch über einen Online-Shop, wo alle Artikel ebenfalls bestellt werden können.
July 31, 2020 at 08:00PM
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Traditionelles Keramik-Unternehmen stellt außergewöhnliche Soja-Schalen vor - Sumikai
Originaires de Rennes, les membres du groupe Le P’tit Son, composé de six musiciens multi-instrumentistes, diffuse à travers tout l’Hexagone une musique festive du genre manouche-rock. Quant à coller une étiquette ! Même si celle-ci n’est pas gênante, au contraire.
On sait qu’il y a de la joie, des rythmes de diverses provenances, et des paroles, en plus.
Ce qui promet une belle rencontre, d’autant que ces Bretons universels terminent leur tournée de présentation de leur album « Marche ou rêve » alors qu’ils préparent la naissance d’un nouveau bébé prévue au printemps prochain. Ce qui pourrait être l’occasion de faire à nouveau la fête l’été prochain ? Il suffira, pour en être sûr, de venir ce vendredi soir à partir de 21 h place des Vosges, de saluer la prestation des gaillards.
Et puis de voter pour eux sur le site de la Ville et d’en faire le coup de cœur 2020 du festival Épinal Bouge l’été.
Le P’tit Son en concert (gratuit) : aujourd’hui vendredi 31 juillet à 21 h place des Vosges dans le cadre du festival Épinal bouge l’été.
July 31, 2020 at 05:31PM
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Épinal. Rock manouche festif à la sauce bretonne ce vendredi soir place des Vosges - Vosges Matin
Halte aux fous ! Par clémence et bonté d’âme, il faut supposer que les deux ministres qui ont signé le Rapport sur la fiscalité des Français de l’étranger ne l’ont pas lu (pour le lire cliquez ICI). C’est un tel salmigondis bureaucratique qu’on a pitié de ceux qui ont souffert pour le rédiger. Exemplaire de ce que ne doit pas être l’administration, la fiscalité, les relations entre l’Etat et les citoyens, c’est le contre modèle absolu qui devrait être enseigné dans les écoles, y compris à l’ENA.
Le modèle de la bureaucratie
Qui a rédigé ce Rapport? Pourquoi ? Le changement de fiscalité avait conduit à une telle hausse d’impôts pour les Français de l’étranger que Gérald Darmanin avait accepté un moratoire et commandé un Rapport. Le voilà. Il est signé Olivier Dussopt et Jean-Baptiste Lemoyne, transmis au Parlement. Il préfigure l’avis que donneront les ministres lors de la discussion budgétaire. En réalité, il est réalisé par la DNIR, la Direction Nationale des Impôts des non Résidents qui n’oublie pas, au passage, de se plaindre de sa triste condition.
Que contient le Rapport ? Tout d’abord, quelques chiffres, trop rares d’ailleurs, sur les Résidents à l’étranger. Sur les 1.775.875 Français inscrits au 1er janvier sur les registres consulaires, 470.801 sont Résidents à l’étranger non contribuables. Une augmentation régulière de 6% par an. Les autres n’ont pas de revenus en France, ou trop peu, ou bien sont agents de l’Etat ou autres et paient leurs impôts en France. Plus 6 % par an, de quoi s’interroger. Surtout quand le Rapport répète, sans rire, qu’il s’agit de conserver « l’attractivité fiscale de la France ». Quand on sait que la France est le pays recordman des taxes et prélèvements, on mesure l’ironie du Fisc.
Les impôts n’augmenteront pas, sauf pour les expats
Les non résidents non contribuables paient 1.5 milliards d’impôts. Pas si mal pour des non-contribuables, qui paient sur les revenus de France. Et paient des impôts dans leur pays de résidence. Leurs revenus sont de 3,980 milliards. Si l’on veut calculer leur taux d’imposition moyen, ce que ne fait pas la DNIR, on arrive à 38%. (1.5/3.9) La DNIR ne le fait pas parce qu’elle explique sans cesse que les Français de l’étranger sont favorisés. Elle utilise la vieille astuce des études de cas, « cas » choisis pour étayer ses thèses, manipulation à destination des parlementaires et des non spécialistes. Parfois, d’ailleurs, elle se trompe. Mais qu’importe, ces cas n’ont qu’un objet rhétorique, faussement objectif. Elle le reconnait elle-même en expliquant que toute modélisation ou simulation est impossible car trop complexe, compte tenu de la diversité des situations. Non: compte tenu de la complexité de la fiscalité, devenue la plus injuste et la plus aberrante du monde, puisqu’elle favorise les malins et pénalise les naïfs.
L’administration fiscale, dans ce rapport défend deux « acquis fiscaux », pour l’Etat. Le premier, c’est la réforme qui a porté le taux d’imposition minimum à 30% à partir de 25659€ de revenus : « Revenir sur l’augmentation du taux minimum et sur les différentes mesures favorables l’ayant accompagnée est à exclure ». Mesures favorables, c’est une façon de parler. L’essentiel des exonérations de charges dont bénéficient les autres contribuables est interdit aux Français de l’étranger. Question de principe pour la DNIR ! Qui se déchaine, invoque la Constitution, la natalité à l’étranger, la proportionnalité de l’impôt, mille arguments d’autant plus tendancieux qu’elle reconnait que le bon système – qu’elle promet d’améliorer – est celui dit du régime « Schumacker ». Ce régime, imposé par la Cour de justice de l’UE, est réclamé par les associations de contribuables. Il consiste, en simplifiant, à aligner la taxation de Français de l’étranger pour leurs revenus en France sur celles des résidents en France. L’administration a été obligée d’accepter l’arrêt Schumacker[1], comme pour la CSG, mais freine tant qu’elle peut. Il faut faire la demande chaque année, et par voie contentieuse.
56 millions d’impôts supplémentaires pour les Français de l’étranger
Faire appliquer le droit par l’administration par recours contentieux, alors que l’Etat est là pour appliquer la loi est une honte. Consciente de cet abus, le recours au régime «Schumacker » pourrait être facilité, accorde le Fisc dans sa bienveillance. On pourrait, suggère-telle, « passer d’une procédure contentieuse à une procédure déclarative ». Ce serait la moindre des choses.
Pourquoi l’administration ne veut pas revenir sur la malheureuse réforme ? Parce qu’elle doit rapporter…56 millions d’euros supplémentaires[2]. Ainsi, l’impôt n’augmentera pas, ont affirmé Président et gouvernement, sauf pour les Français de l’étranger. Soit, en moyenne, 119 euros par non-contribuable. Avec des hausses, selon le Rapport, de parfois +89% ! Et l’augmentation touche principalement ceux qui touchent moins de 43. 047 €. Tous des privilégiés.
Ce que recommande le Rapport c’est d’ « apporter des aménagements limités afin de contenir, sans toutefois la combler, la hausse d’impôt qui en résulte ». Bel aveu : quoiqu’il arrive, les impôts augmenteront.
Pour faire plaisir aux parlementaires, le fisc étudie quelques pistes. Tel un barème spécifique pour les Français de l’étranger. Une drôle de construction intellectuelle : parce que ceux-ci ont d’autres revenus, ils seraient « favorisés » et devraient en conséquence avoir droit à un barème spécifique qui leur ferait payer plus ! Mais n’ont-ils pas d’autres conditions de vie, d’autres frais, et … d’autres impôts ? N’est ce pas en totale contradiction avec l’arrêt Schumacker ? Autre piste : appliquer le système de la « décote », une particularité fiscale française que le monde ne nous a jamais envié et que l’on parle de supprimer depuis des lustres. L’administration n’y est pas favorable, car cela reviendrait à un avantage fiscal. Or quoiqu’il en soit « accorder les réductions et crédits d’impôt devrait être exclu ».
Les effectifs du fisc pour les expats en augmentation
Mais qui sont ces génies qui commettent de tels aveux ? La DNIR se plaint d’être en sous-effectifs. Elle ose même affirmer que ses effectifs ont été réduits. Elle ne sait pas compter : dans son Rapport, de 347 agents en 2016, on passe à 435 en 2020. Normal d’augmenter les impôts pour payer les nouveaux emplois de la DNIR.
Ainsi, quand on diminue le nombre le nombre d’enseignants, d’agents dans les consulats et ambassades, on augmente le nombre de contrôleurs fiscaux ! Que disent Le Drian et Le Moyne, merci, bravo ? Normal, la DNIR se plaint du « goulot d’étranglement » dans lequel elle se trouve: « 350.000 appels téléphoniques par an, 150.000 contacts par e-mail ». Pourquoi tous ces Français de l’étranger appellent ? Parce que c’est incompréhensible, Kafkaïen, ubuesque, injuste !
10.483€ par mois pour les conseilleurs, la taxe pour les payeurs.
Exemple de littérature bureaucratique à faire étudier dans les Alliances françaises : « La mise en œuvre du PAS de droit commun à compter du 1er janvier 2023 a donc été retenue car elle permettra notamment aux collecteurs de mettre en œuvre le processus déclaratif propre au PAS, i.e. les déclarations DSN et PASRAU, et à l’administration de consolider la fiabilisation des processus de traitement de données, de calcul et d’interaction avec les collecteurs, sous forme de périodes de préfiguration ». Et ces superbes intelligences d’avouer que le travail, parce que c’est trop compliqué, doit être fait par le contribuable. Le reste est à l’avenant. L’injustice et l’abus de droit, fièrement arborés, en plus.
Pour information, l’Observatoire de l’Ethique Publique, fondé par René Dosière[3], indique que parmi les Conseillers ministériels les mieux payés, ceux d’Olivier Dussopt détiennent la palme : 10.482€ brut/mois, en moyenne.
Pourquoi, en plus d’un an, aucun de ces conseillers ministériels si bien payés, ne s’est demandé comment faisaient nos voisins ? Pas un mot sur ce qui se passe à l’étranger dans ce lamentable Rapport. Anglais, Italiens, Grecs, Indiens ont-ils tous leurs DNIR ? Beaucoup s’en passent. A se demander si la DNIR, création récente, juillet 2017, ne devrait pas être supprimée.
Suggestions aux ministres
Quant aux deux ministres qui ont commis l’erreur de signer un tel rapport, voici quelques suggestions :
Lire le rapport
L’oublier.
Etudier ce que font les autres.
Tenir l’engagement répété du Président auquel ils se réfèrent sans cesse: baisser les impôts et simplifier la bureaucratie. On attend.
S’ils n’y arrivent pas, il y a une cinquième voie : ne plus être ministre. Si c’est pour répéter ce que dit l’administration, personne n’en a besoin. Les administrateurs seront toujours plus compétents que les amateurs. Ce qu’on attend, c’est une politique.
Laurent Dominati
Fondateur de lesfrançais.press
Ancien Ambassadeur de France, ancien Député de Paris
[1] « Les contribuables non-résidents domiciliés dans un des Etats de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen qui tirent l’essentiel de leurs revenus de France et ne bénéficient d’aucun mécanisme de nature à minorer l'imposition de leurs revenus en fonction de leur situation personnelle et familiale dans leur État de résidence peuvent bénéficier du régime dit des « contribuables non-résidents Schumacker » Ils sont alors assimilés à des personnes fiscalement domiciliées en France tout en restant tenus à une obligation fiscale limitée à leurs seuls revenus de source française. Ils peuvent, de la même manière que les contribuables fiscalement domiciliés en France, faire état, pour la détermination de leur impôt sur le revenu, des charges admises en déduction du revenu global et bénéficier des réductions et crédits d'impôts. Ils sont ainsi imposés selon les règles de droit commun applicables aux contribuables domiciliés fiscalement en France, sans application des taux minimum et taux moyen d'imposition »
[2] « Pour l’imposition des revenus 2019 de source métropolitaine, le rendement de la mesure est estimé à environ 56 M€. ».
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A quelle sauce serez vous mangés par le Fisc ? - Lesfrancais.press
Par Lucia Dauphin, bénévole pour la Société de l’Autisme de Lanaudière
Depuis le début de l’année 2020, le monde entier est sous le fléau du puissant et virulent Coronavirus, ce virus qui se répand à la vitesse de l’éclair sur notre belle planète. En Mars, en voyant le nombre de cas augmenter au Québec, notre gouvernement a décidé de fermer tous les commerces, lieux de divertissement et restaurants en plus d’interdire les rassemblements de familles et d’amis. C’est donc comme ça qu’est né le confinement qui a sévi sur la province pendant plus de trois mois. Moi, jeune adulte autiste en subi les effets comme les milliards de gens qui vivent sur la Terre. Qui dit confinement, dit aussi changement de routine, changement des habitudes de vie mais surtout, terminé les rencontres avec ses amis que l’on aime très fort. Comme je suis des cours de zumba, de yoga et je fais du bénévolat dans une bibliothèque, j’étais habituée au fait de voir beaucoup de gens au courant de la semaine. Des personnes que j’apprécie et dont la présence me procure du bonheur et de l’énergie.
Voici comment j’ai vécu le confinement de la COVID-19 au printemps dernier…
Au commencement, même si prendre une pause de mes activités me faisait du bien, ma routine me manquait beaucoup parce qu’elle a été construite selon mes besoins et mes capacités. Hormis mes parents, je ne voyais plus les gens que j’aimais le plus au monde : mon copain, ma sœur, mes amies du groupe de yoga et mes collègues de la bibliothèque. En réalité, c’est en étant le plus possible avec mon entourage qui me permet de m’épanouir et de pratiquer mes habiletés sociales. J’ai eu beau téléphoner régulièrement à mon copain et à ma sœur mais ce n’était pas assez pour moi en termes de socialisation.
Comme j’avais l’habitude de faire des sorties avec mon père, notamment pour aller au restaurant, je trouvais cela plus difficile de m’abstenir à aller seulement à l’épicerie ou faire quelques ballades en voiture dans la région. Je n’avais presque plus de motivations pour entretenir la maison et pratiquer mon passe- temps préféré : l’écriture. Même que je voulais passer mes avant-midis à dormir! Tout ce qui m’intéressait était de lire et de visionner mes téléromans préférés sur Internet. Ma passion pour les séries télévisées a été une source de réconfort durant la pandémie.
Mon moment préféré de la journée était le visionnement du point de presse de Monsieur Legault et de son équipe à 13h. J’aimais beaucoup suivre l’évolution de la situation et cela me permettait aussi de bien comprendre les effets de la pandémie. Par la suite, j’allais prendre une marche avec mon père dans notre village de Saint-Norbert. C’était une routine que j’aimais beaucoup.
À titre de bénévole pour la Fédération Québécoise de l’Autisme depuis quelques mois, j’ai dû ajuster mes tâches et les effectuer en télétravail. Je travaillais sans relâche à la vérification des ressources communautaires pour leur site Internet.
C’est devenu mon nouveau champ d’intérêt parce que je me passionne pour l’informatique et le travail de bureau. Comme j’apprends par répétition, j’ai maîtrisé la tâche facilement. Cela occupait beaucoup mes plages horaires.
Le confinement a eu un impact considérable chez moi, même si cela peut faire du bien à certaines personnes autistes. En fait, plusieurs personnes sont bien avec pas beaucoup de contact extérieur et de stimuli tandis que c’est le contraire pour moi.
J’ai dû m’habituer à cette nouvelle réalité parce que j’ai de la difficulté à m’adapter à certaines situations. Heureusement, j’ai réussi au bout de quelques semaines. Je ne perds pas espoir face à la situation et je continue à essayer toutes sortes d’activités pour me divertir en ces temps tranquilles.
Au final, étant en plein cœur de l’été, je suis débordante d’énergie pour m’amuser, tout en étant auprès de ma famille que j’aime et qui me soutient.
“생산자가 권리를 갖는 유통 메커니즘을 만들어야 한다.” 위성곤 더불어민주당 의원이 국회 농해수위(농림축산식품해양수산위원회) 농업 관련 기관 업무보고 자리에서 던진 말이다. 마늘 공판장 거래가가 kg당 4000원이 넘고 있지만, 산지 농민들은 1500~1800원에 포전거래를 마친 상태로, 저장업체의 독과점 구조 해소 대책을 만들어야 한다고 강조한 것이다.
최근 마늘 가격은 더 올랐다. 창녕 마늘공판장 가격은 kg당 4300원, 도매시장에서 거래된 깐마늘 가격은 kg당 6800원이다. 높아진 마늘 시세가 농가 소득으로 온전히 돌아간다면야 좋은 일이지만, 그렇다고 믿는 사람은 드물다. 농산물 유통 구조를 잘 모르는 소비자들을 빼면 말이다.
오히려 너무 오른 마늘 값이 중국산 마늘 수입과 같은 부메랑으로 돌아오지 않을까 농가들은 우려한다. 물가 관리를 해야 하는 정부로서도 이제는 산지폐기 카드가 아니라 비축물량 방출이라는 카드를 만지작거려야 하는 상황이다.
때마침 노지채소로서는 처음으로 마늘과 양파 의무자조금이 설립됐다. 마늘산업연합회와 양파산업연합회가 7월 23~24일 양일간 진행한 대의원 투표를 통해 의무자조금 설립을 결정한 것이다. 특히 이들 의무자조금은 지난해 마늘·양파 가격이 폭락하면서 설립 논의가 시작돼 더욱 의미가 있다. 생산자가 중심이 돼 유통 구조, 즉 수급 조절에 직접 개입함으로써 가격 안정을 유도하겠다는 당초 목표 때문이기도 하다.
농식품부도 마늘·양파 의무자조금 설립으로, 정부 주도의 수급 정책이 생사자 중심의 자율적 수급조절로 전환된다는 점에 의미를 부여하고 있다. 또 이들 품목 의무자조금이 설립 목적을 성공적으로 달성하면, 향후 농산물 수급 조절 정책의 큰 줄기가 바뀔 가능성이 크다.
이제 남은 것은 어떻게 생산자 중심의 수급 조절을 실행해 나가느냐에 있다. 의무자조금 관리위원회를 구성해 거출금을 정하고, 모아진 자조금을 어떻게 쓸지 고민하는 것도 중요하지만, 무엇보다 정부의 수급 정책 방향이 생산자 의견을 반영해 변화하도록 이끌어 가야한다.
농산물 수급에 대한 정부 정책 방향은 변하지 않은 채 수급 조절만 이뤄지면, 의무자조금은 정부 정책의 방패막이로 활용되는 꼴이 될 수 있다. 위성곤 의원 말처럼 ‘생산자가 권리를 갖는 유통 메커니즘’이 만들어질지, 모두의 눈과 귀가 쏠린다.
Nous avons discuté ici d’une étude récente sur le marché mondial de la sauce de poisson Rapport de recherche 2020-2026 qui présente des intrants cruciaux liés à la part de marché de la sauce de poisson, les tendances régionales, la taille du marché de la sauce de poisson et la projection des bénéfices de l’atmosphère commerciale mondiale. L’étude de recherche sur le rapport sur le marché de la sauce de poisson englobe également les utilisateurs pour relever les défis les plus importants ainsi que les tactiques de croissance disponibles établies par les plus grandes entreprises qui tiennent compte de l’environnement concurrentiel de l’industrie de la sauce de poisson à travers le monde.
Le rapport de recherche sur le marché mondial de la sauce de poisson 2020 fournit un résumé standard de l’industrie ainsi qu’une description approfondie de celui-ci. L’analyse du rapport sur le marché de Sauce de poisson est fournie pour le marché international comme les tendances en développement récentes, le statut de fabrication régional, l’analyse du paysage concurrentiel et bien plus encore. Des réglementations de développement, des processus de fabrication et des plans distincts sont largement élaborés dans l’étude de marché de la sauce de poisson. En outre, le rapport sur le marché de la sauce de poisson démontre également plusieurs éléments cruciaux tels que le prix, les importations / exportations, les investissements, les revenus, les marges brutes, l’offre et la demande.
REMARQUE: Nos rapports incluent l’analyse de l’impact du COVID-19 sur cette industrie. Notre nouvel échantillon est mis à jour, ce qui correspond à un nouveau rapport montrant l’impact de Covid-19 sur les tendances de l’industrie. Nous proposons également 20% de réduction
Les fabricants concurrents inclus dans le rapport sur le marché de la sauce de poisson sont:
Consommateur Masan
Tang Sang Ha
Groupe Thaipreeda
NANDAO
Teo Tak Seng
Sauce de poisson Shantou
Jinguanyuan
Hung Thanh
Usine de sauce de poisson thaïlandaise
Sauce de poisson Pichai
Rayong
Rungroj
Viet Phu
Marin
Protéines Halcyon
Le rapport sur le marché mondial de la sauce de poisson publie une évaluation systématique du secteur concurrentiel régional et international de l’industrie mondiale de la sauce de poisson. Le paysage géographique du marché de la sauce de poisson est divisé en grandes régions comme les États-Unis, la Chine, l’Europe, le Japon, l’Inde et l’Asie du Sud-Est. Selon l’analyse régionale, le rapport sur le marché de la sauce de poisson présente des informations détaillées sur la part de marché géologique de la sauce de poisson et, pendant ce temps, montre que le taux de croissance de chaque zone devrait s’inscrire au cours de la période de prévision.
En outre, le rapport sur le marché mondial de la sauce de poisson incorpore un aperçu fondamental des tendances des prix, de l’entreprise, des marges bénéficiaires, etc. Le rapport du marché de la sauce de poisson propose également des statistiques modifiées et de brèves informations bien informées sur l’industrie mondiale de la sauce de poisson. Le document de recherche sur le marché de la sauce de poisson est étudié à travers des méthodes de recherche primaires et secondaires, qui jouent le double rôle d’estimation des découvertes industrielles et de création d’informations industrielles pénétrantes qui vous aident à mieux comprendre et clarifier l’environnement commercial de la sauce de poisson et résistance concurrentielle.
La cuisine extérieure confirme sa tendance cette année à la suite du confinement. Mais comment donner du pep's à vos plats au barbecue ?
Tout l'été, suivez notre guide culinaire et expert barbecue. Le Père Guez, vous propose chaque semaine de suivre pas-à-pas une recette pour réaliser sur votre grill une vraie cuisine, bien plus succulente, plus originale et plus saine que des amoncellements de saucisses, de brochettes et de merguez.
Cette semaine, cinquième recette : les sucettes de poulet tandoori et les brochettes crevettes-tofu sauce thaï.
Dans votre supplément Temps Libre/Pour Sortir, la recette pas-à-pas, ses ingrédients et les astuces BBQ du Père Guez
Tous les vendredis de l’été, dans votre supplément Temps Libre/Pour sortir, une page sera consacré à une recette présentée en pas-à-pas, à cuire sur votre barbecue : plats populaires, légumes, viandes de choix, dessert, tout (ou presque) est possible sur votre barbecue !
La liste intégrale des ingrédients y est disponible, ainsi que les indispensables trucs et astuces BBQ du Père Guez pour devenir le roi du barbecue dans votre jardin :